J'ai lu : ENTRE MES MAINS LE BONHEUR SE FAUFILE d'Agnes Martin-Lugand
Enfin avec ces vacances tant attendues, j'ai pu replonger mon nez dans un livre. J'ai choisi un nouveau titre d'Agnes Martin-Lugand et comme les précédents (Les gens heureux lisent et boivent du café - La vie est facile ne t'inquiète pas), j'ai beaucoup aimé : ENTRE MES MAINS LE BONHEUR SE FAUFILE.
J'ai accroché directe par son écriture fluide, par ses phrases qui ne font pas 3km, ses personnages attachants, fragiles et assez déroutants, et son histoire qui m'a surprise jusqu'au bout avec ses rebondissements.
C'est l'histoire d'une jeune trentenaire mariée qui apprend à un déjeuner de famille que ses parents lui auraient volé sa vie, son rêve, "celui des machines à coudre et des maisons de couture". La vie est courte mais blessée, courageuse et persévérante, elle décide de ne pas passer à côté de sa passion et de se donner une nouvelle chance. Cela implique une formation loin de son mari et beaucoup de travail. Au fil des mois il y aura des rencontres, des obstacles, des révélations, des doutes, des désirs puissants, un amour impossible, une emprise de certaines personnes dont il est difficile de se défaire, la découverte d'un nouveau monde qui effraie parfois et dont il faut se méfier, des choix à faire, résister, ne pas regretter, foncer, mais ouvrir les yeux sur le vrai sens de sa vie, sur ce qui la rend heureuse aujourd'hui.
Je l'ai dévoré en 3 jours au coin d'un bon feu comme les deux derniers romans de ce même auteur, un pur régal ! Vivement le prochain.
Aujourd hui, la jeune femme étouffe dans son carcan de province, son mari la délaisse, sa vie semble s être arrêtée. Mais une révélation va pousser Iris à reprendre en main son destin. Dans le tourbillon de Paris, elle va courir le risque de s ouvrir au monde et faire la rencontre de Marthe, égérie et mentor, troublante et autoritaire...
Portrait d une femme en quête de son identité, ce roman nous entraîne dans une aventure diabolique dont, comme son héroïne, le lecteur a du mal à se libérer.